Patients et proches de ceux-ci, nos pensées quotidiennes faites de patience, de stress, d'espoirs et de désespoirs.
Pour de nombreux patients atteints d'affections chroniques irréversibles, la transplantation d'un organe est le dernier traitement possible.
Il n’y a qu’un cœur, un foie, un poumon, un rein, un pancréas, un intestin ou certains tissus qui peuvent leur sauver la vie.
Il n’y a qu’un cœur, un foie, un poumon, un rein, un pancréas, un intestin ou certains tissus qui peuvent leur sauver la vie.
Organes transplantables |
Malheureusement, la demande d'organes est actuellement plus importante que l'offre et changer cet état de fait devient une urgence !
A aujourd’hui, en Belgique, plus de 1200 personnes sont en attente d’un Don d'organes.
Sans celui-ci, c’est la mort assurée à court ou moyen terme.
Cette réalité a pour conséquence la formation de listes de malades qui attendent un organe.
Certains patients décèdent lors de cette attente, les autres perdent parfois plusieurs années de leur vie à attendre dans des conditions médicales, sociales et émotionnelles difficiles en mettant en plus, tous les projets d’avenir de côté.
De plus, pour pouvoir monter dans ces listes et se rapprocher de sa transplantation salvatrice tant attendue, il faut laisser la maladie progresser et le patient doit accepter de se voir dépérir.
Par conséquent, les médecins, à contre cœur, savent que le patient va s’affaiblir mais pas trop afin garder assez de force pour supporter la longue et lourde opération chirurgicale.
Cette situation est terriblement oppressante pour le patient, pour les médecins mais aussi pour toutes les familles de ces patients.
En effet, ces proches doivent être non stop en alerte, continuellement aux petits soins, toujours prêts à aller aux Urgences à chaque symptôme inquiétant (coma, hémorragies, infections, encéphalopathie,…), prêts à réagir pour être à l’hôpital en moins de 4 heures en cas d’appel et donc rester toujours suffisamment proche de cet hôpital.
Un stress supplémentaire est causé par un problème plus matériel : la vision financière des choses. En dehors des coûts énormes inhérents aux nombreuses hospitalisations, rendez-vous diverses, tests, prises de sang, médicaments, …, il y a les pertes de revenus des demandeurs d’organes qui étaient des travailleurs.
Durant l’attente et suite à la fatigue provoquée par leur santé, il est quasi impossible de pouvoir travailler.
Et tout cela pendant des mois voire des années.
La seule solution pour éviter cette situation :
Augmenter fortement le don d’organes afin d’avoir une offre qui se rapproche de plus en plus de la demande.
A aujourd’hui, en Belgique, plus de 1200 personnes sont en attente d’un Don d'organes.
Sans celui-ci, c’est la mort assurée à court ou moyen terme.
Cette réalité a pour conséquence la formation de listes de malades qui attendent un organe.
Certains patients décèdent lors de cette attente, les autres perdent parfois plusieurs années de leur vie à attendre dans des conditions médicales, sociales et émotionnelles difficiles en mettant en plus, tous les projets d’avenir de côté.
De plus, pour pouvoir monter dans ces listes et se rapprocher de sa transplantation salvatrice tant attendue, il faut laisser la maladie progresser et le patient doit accepter de se voir dépérir.
Par conséquent, les médecins, à contre cœur, savent que le patient va s’affaiblir mais pas trop afin garder assez de force pour supporter la longue et lourde opération chirurgicale.
Cette situation est terriblement oppressante pour le patient, pour les médecins mais aussi pour toutes les familles de ces patients.
En effet, ces proches doivent être non stop en alerte, continuellement aux petits soins, toujours prêts à aller aux Urgences à chaque symptôme inquiétant (coma, hémorragies, infections, encéphalopathie,…), prêts à réagir pour être à l’hôpital en moins de 4 heures en cas d’appel et donc rester toujours suffisamment proche de cet hôpital.
Un stress supplémentaire est causé par un problème plus matériel : la vision financière des choses. En dehors des coûts énormes inhérents aux nombreuses hospitalisations, rendez-vous diverses, tests, prises de sang, médicaments, …, il y a les pertes de revenus des demandeurs d’organes qui étaient des travailleurs.
Durant l’attente et suite à la fatigue provoquée par leur santé, il est quasi impossible de pouvoir travailler.
Et tout cela pendant des mois voire des années.
La seule solution pour éviter cette situation :
Augmenter fortement le don d’organes afin d’avoir une offre qui se rapproche de plus en plus de la demande.
Il est certain qu’il est très triste de perdre un proche mais n’est-il pas beau de savoir que, malgré la douleur de ce décès, on peut sauver 5 ou 6 personnes en faisant le don de ses organes.
Nous pensons tous que cela n’arrive qu’aux autres. Malheureusement, …, pas toujours.
Qui pourrait envisager la mort de ses enfants, de son conjoint, de ses proches ?
Il y a près de 1000 transplantations en Belgique par an et plus de 1200 personnes en attente soit plus de 2200 personnes concernées directement chaque année.
Avec les familles et amis de ces patients, cela représente plus de 20000 personnes qui vivent avec ces épées de Damoclès au-dessus de la tête de leur sœur, frère, enfant, conjoint, amis, ….
Et par manque de donneur, près de 300 personnes décèdent chaque année en Belgique.
Que peut-on faire pour aider ces patients et leurs familles ?
Il existe 2 types de don d’organes.
Le premier de son vivant mais il n’est pas valable pour la totalité des greffés.
Le second, en cas de décès.
Vous trouverez dans le sommaire les différents articles traitants de ces problèmes.
Nous pensons tous que cela n’arrive qu’aux autres. Malheureusement, …, pas toujours.
Qui pourrait envisager la mort de ses enfants, de son conjoint, de ses proches ?
Il y a près de 1000 transplantations en Belgique par an et plus de 1200 personnes en attente soit plus de 2200 personnes concernées directement chaque année.
Avec les familles et amis de ces patients, cela représente plus de 20000 personnes qui vivent avec ces épées de Damoclès au-dessus de la tête de leur sœur, frère, enfant, conjoint, amis, ….
Et par manque de donneur, près de 300 personnes décèdent chaque année en Belgique.
Que peut-on faire pour aider ces patients et leurs familles ?
Il existe 2 types de don d’organes.
Le premier de son vivant mais il n’est pas valable pour la totalité des greffés.
Le second, en cas de décès.
Vous trouverez dans le sommaire les différents articles traitants de ces problèmes.
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