Pas top, ce 26/01 !
L'opération de vendredi dernier est un mauvais souvenir !L'endoscopie et ses 4 ligatures de varices a été douloureuse. Surtout le réveil, évidemment !
Est-ce l'accumulation d'opérations, le positionnement des varices ou autres choses, mais la douleur est vive depuis vendredi ?
Et depuis lors, "elle" ne va pas trop bien.
Prise de sang au programme
Depuis ce midi, "elle" commence à nouveau à manger des aliments un peu plus solides mais un point dans l'œsophage est très sensible !Beaucoup de douleurs, peu de sommeil la nuit mais beaucoup de fatigues accumulées.
Et aujourd’hui, au réveil, c'était direction hôpital (chaise roulante dans la voiture) pour une nouvelle prise de sang.
Depuis, 3 semaines, quand nous sortons, c’est toujours avec cette chaise car "elle" ne marche que difficilement, douloureusement.
L'infirmière accueillante est celle qui avait charcuté son bras, il y a un gros mois.
"Elle" n'est pas à l'aise en voyant cette infirmière.
Comme promis lors de la précédente prise de sang, heureusement, je suis rentré avec "elle" dans la pièce et avant que l'infirmière n'aie pu prendre l'aiguille, le message passé a été clair !
"Aiguille butterfly dans l'avant du bras. Ordre de l'hépatologue !"
L'infirmière obtempère mais ne trouve pas le barillet pour l'aiguille butterfly. Après un appel à l'équipe, elle démarre son "œuvre".
2 piqures très douloureuses et pas une goutte de sang.
Merci au Dieu des "futurs greffés" !! Une des 2 infirmières les plus compétentes entre enfin dans la pièce, prend une nouvelle aiguille, trouve la veine et remplit les 6 tubes.
Et si la douleur est présente, le résultat est là !
Merci à cette infirmière "sauveuse" !
Encore et toujours l'ascite
D'une autre côté, pour ne rien arranger, l’ascite continue à faire des dégâts (moins d’une semaine après la ponction, elle avait déjà repris les 5 litres ponctionnés) et cela la fatigue aussi énormément.Nous savons et le gastro-entérologue nous l’a confirmé qu’il vaut mieux ne pas faire de trop de ponctions. Il y a un risque important.
Malgré cela, elle garde le moral et moi, j’essaie de faire ce que je peux pour l’aider.
Je sais bien, qu’il n’y a pas de solutions miracles et je suis convaincu qu’une hospitalisation n’arrangerait rien à son moral, bien au contraire.
Elle se sent presque bien à la maison.
Via cet article, je ne demande rien. Je veux juste signaler mon impuissance à la soulager plus.
Ce n’est pas simple de voir « partir » un être proche en étant totalement tributaire d’un éventuel don.
Vivement cette transplantation !
Et merci à Martine H. pour son petit mot de soutien. Cela fait du bien !
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